Mettre la musique si vous voulez
Christologie :
La destruction du temple en 70 fut le signe définitif que le judaïsme, avec ses sacrifices, cérémonies et rites, était mort et enterré et remplacé par l’Église du Christ Jésus. L’apôtre Paul, dans la 1re lettre aux Corinthiens Chap. 10 : 14, 21, dit : « C'est pourquoi, mes bien-aimés, fuyez l'idolâtrie. Je vous parle comme à des hommes intelligents ; jugez vous-mêmes de ce que je dis (…). Voyez Israël selon la chair : ceux qui mangent les victimes ne participent-ils pas à l'autel ? Qu'est-ce à dire ? Que la viande sacrifiée aux idoles soit quelque chose, ou qu'une idole soit quelque chose ? Nullement ; je dis que ce que les païens offrent en sacrifice, ils l'immolent à des démons, et non à Dieu ; or je ne veux pas que vous soyez en communion avec les démons. Vous ne pouvez boire à la fois au calice du Seigneur et au calice des démons ; vous ne pouvez prendre part à la table du Seigneur et à la table des démons. Voulons-nous provoquer la jalousie du Seigneur ? Sommes-nous plus forts que lui ? »
Avec l’Ancien Testament les bougies sont certes placées par les prophètes, mais c’est avec l’Évangile qu’elles sont allumées par le Christ, « lumière du monde ».
Dans l'Ancien Testament, l'homme va à la recherche de Dieu ; dans le Nouveau Testament, Dieu se penche vers l’homme.
Dans l'Ancien Testament, l’homme parle à Éternel/Eloha des Elohîm par sa prière sous la loi Lévitique et judaïque ; dans le Nouveau Testament, c’est Dieu le Père/Adon-Aï (vrai Dieu, Seigneur et Père) lui-même qui parle à l’homme par l’enseignement d’amour du Christ Jésus, au travers de ses prédication (paraboles).
Dans la Lettre aux Hébreux 8:13, saint Paul leurs dit : — « En disant : "Une alliance nouvelle", Dieu a déclaré la première vieillie ; or, ce qui est devenu ancien, ce qui est vieilli, est près de disparaître ».
Or, l’Église universelle et éternelle (Corps du Christ) est née le jour de la Pentecôte (Matthieu 16 : 18, 19). Elle a réellement remplacé l’ancien Temple.
Le Nouveau Testament l’a déclarée fille de la résurrection mystiquement fondée par Jésus-Christ, le Dieu Vivant. Au moment où le Christ Jésus rendit l'esprit sur la croix, le voile du temple se déchira violemment et brusquement de haut en bas. « Sur la croix, par conséquent, la Loi Ancienne est morte ; bientôt elle sera ensevelie et elle deviendra cause de mort... »
(Cf. saint Jérôme et saint Augustin, Epist. CXII, 14 et CXVI, 16. PL 22, 924 et 943 ; saint Thomas, Somme théol. I-II, q. 103, art. 3 ad 2 ; art. 4 ad 1 ; Concile de Florence : décret pro Iacobitis, MANSI XXXI, 1738. Denzinger n. 712).
Page 352 -Extrait du livre "Le monde a besoin d'un Sauveur."
Bas-relief de l’église Saint-Jacques (1839) à Gottsdorf, Basse-Bavière. Allégorie de la substitution :
Dieu foudroie le judaïsme et réserve sa lumière au christianisme.
Le pape Pie XII dans sa lettre Encyclique « Mystici Corporis » du 29 juin 1943 a dit : « Quiconque approfondit religieusement cette vénérable doctrine [l’Évangile] pourra sans difficulté voir les raisons sur lesquelles elle s’appuie ; la mort du Rédempteur a fait succéder le Nouveau Testament à l’Ancienne Lois abolie ; c’est alors que la Loi du Christ, avec ses mystères, ses lois, ses institutions et ses rites, fut sanctionnée pour tout l’univers dans le sang de Jésus-Christ, (…) il cloua à la Croix le "Chirographe" de l’Ancien Testament, établissant une Nouvelle Alliance dans son sang répandu pour tout le genre humain éternellement.
Sur la croix, par conséquent, la Loi Ancienne [Lévitique] est morte ; bientôt elle sera ensevelie et elle deviendra cause de mort ! »
J'étais sur GPTV (Radio Courtoise/géopolitique-profonde) ce samedi Le 12 octobre 2025, sur le thème : Linceul de Turin. La vérité sur le trésor historique du Christ.
LE MYSTÈRE QUE LE SYSTÈME VEUT ENTERRER
Le Linceul de Turin, preuve physique de la Résurrection, brûle les doigts de ceux qui prétendent gouverner la vérité. Les loges maçonniques, la science institutionnelle et une Église de Rome affaiblie ont tout tenté pour le discréditer. Mais la supercherie du carbone 14 s’effondre : les échantillons étaient faux, la trace est vraie.
Ce tissu n’est pas une relique : c’est une déflagration spirituelle. Là où la matière défie la physique, la foi prend sa revanche sur le monde technicien. Et dans ce combat entre lumière et mensonge, chaque fibre du Linceul rappelle que le surnaturel existe encore.
Le Linceul de Turin, preuve éclatante de la Résurrection !
Le Linceul de Turin n’est pas une relique parmi d’autres : il est la trace physique de la Résurrection du Christ, un témoignage matériel que la science moderne, malgré elle, ne parvient plus à contredire. Après des décennies d’accusations absurdes, d’attaques maçonniques et d’un silence coupable de Rome, la vérité s’impose. La fameuse datation au carbone 14 de 1988, brandie comme une arme contre la foi, a été définitivement discréditée : les échantillons testés provenaient de zones restaurées au Moyen Âge, et non du tissu originel. Aujourd’hui, la physique, la chimie et l’imagerie numérique confirment que l’image imprimée sur le lin ne peut être reproduite par aucun procédé humain connu. Le Linceul n’est pas une œuvre d’artiste : c’est la signature de Dieu sur la matière.
L’affaire du Linceul révèle surtout la peur viscérale du monde moderne devant le surnaturel. Les loges maçonniques, les réseaux antichrétiens et les technocrates du Vatican s’unissent pour étouffer ce signe, car il pulvérise leur dogme matérialiste. Gaëtan de Salvatore le démontre : la science, en scrutant le Linceul, a été forcée d’admettre l’inexplicable — radiation lumineuse, absence de pigments, empreinte tridimensionnelle parfaite. Tout concourt à la réalité de la Résurrection. L’Église officielle, infiltrée par des forces hostiles, préfère nier ce qu’elle ne contrôle pas. Mais le peuple fidèle voit dans cette relique la preuve vivante que la mort a été vaincue, et que le Christ est sorti du tombeau.
La guerre invisible autour du Linceul
Le Linceul de Turin dérange les puissants car il brise le monopole du mensonge. Depuis plus d’un siècle, les réseaux antichrétiens travaillent à discréditer toute manifestation du divin. La franc-maçonnerie, les sociétés secrètes et les institutions pseudo-scientifiques ont tout fait pour réduire le Linceul à un « faux médiéval ». Mais la stratégie s’effondre : les analyses modernes de la fibre, de l’image et du pollen prouvent que le tissu vient bien de Judée, du premier siècle. Face à cette évidence, les ennemis du Christ redoublent d’agressivité, car admettre l’authenticité du Linceul, c’est admettre la vérité des Évangiles.
Cette bataille dépasse le cadre religieux : elle oppose deux visions du monde. D’un côté, la civilisation chrétienne, fondée sur la transcendance, la vérité et la lumière. De l’autre, le monde globaliste, matérialiste, piloté par les loges et les idéologies nihilistes. Le Linceul de Turin devient ainsi un champ de bataille spirituel où se joue la liberté de croire. Rome, infiltrée et docile, préfère garder le silence, trahissant son devoir de gardienne de la foi. Les forces occultes, elles, craignent qu’un miracle authentifié ravive la conscience chrétienne européenne.
Le triomphe de la foi par la science
Dans un monde dominé par la technologie et le scepticisme, le Linceul renverse les codes. Il parle le langage des scientifiques, mais son message est divin. Ce paradoxe désarme les ennemis de Dieu : plus la science avance, plus le mystère s’épaissit. Les chercheurs honnêtes, même athées, reconnaissent aujourd’hui l’impossibilité d’une reproduction artificielle. Aucun laser, aucun procédé chimique, aucune main humaine ne peut recréer ce rayonnement qui a gravé l’image sur le tissu. Le Linceul échappe aux lois naturelles car il porte la trace d’un événement surnaturel : la Résurrection.
Vous pouvez écouter l'interview. Cliquez sur le lien : https://www.youtube.com/watch?v=gAgR0cKyupM&t=1156s
Pour voir les diapos et lire, déplacez le curseur à droite de l'image.
Mettre la musique si vous voulez